« Tant que la CEDEAO tolérera les coups d’Ếtats institutionnels qui permettent les présidences à vie, il y aura des coups d’États militaires. Et on ne peut pas condamné des coups d’Etats militaires lorsqu’on ne condamne pas les coups d’États institutionnels.La CEDEAO devrait travailler pour l’intérêt denos peuples »- Georges Weah, Président du Libéria.